La Société franco-belge de casinos a racheté l’établissement de Briançon. Après un gigantesque investissement les sociétaires maintiennent leur lancée.
Après deux années faites à la tête du Circus casino de Briançon, Pascal Pessiot (président de la société française) et Sébastien Leclercq (directeur de la société belge) donnent leurs impressions sur cet établissement. Pour le second, il affirme au nom de son groupe qu’il est satisfait de l’investissement réalisé malgré toutes les difficultés qui résident dans la gestion des casinos de montagne. Pour lui l’exploit est accompli : « Ce casino n’a jamais été rentable par le passé, nous l’avons rendu rentable ».
Pour Pascal Pessiot aussi, c’est un casino qui, depuis sa création, a connu assez de difficultés juridiques. Mais tout cela relève à présent du passé, ajoute-il.
Selon les mots du président de la société belge, Sébastien Leclercq, les 1 million d’euros étaient dépassés pendant la première année. Il ajoute qu’en 2018, 300 000 euros supplémentaires sont prévus. En effet, dans les casinos, une année fiscale va du 1er novembre au 31 octobre et la politique du groupe, c’est de réinvestir continuellement pour être concurrentiel, a complété le directeur.
Quant à Pascal Pessiot ce casino n’avait pas connu d’investissement depuis un certain temps. Il affirma aussi que pendant le printemps, il y aura de nouvelles machines à sous. Surtout que les machines rétros avec un manche semblent revenir à la mode, ajouta l’homme.